• Je perds ma motivation. Je m’essouffle. Pas du tout envie de bosser en ce moment. Et pourtant, ce n’est pas le moment de flancher, au contraire. Théoriquement, bientôt un entretien. Mais toujours pas de date fixée. Il fait beau, mon cœur est mélancolique, mes tâches sont sans saveur. Même celles qui devraient avoir du goût me laissent indifférentes. Je n’ai tout simplement pas envie de travailler. Juste envie de surfer. Je sais qu’il faut pourtant que je fasse encore preuve d’un peu de patience. Je sais que c’est maintenant ou jamais qu’il faut que j’affiche de l’assurance et de la motivation. Je sais. Oui, mais je regarde tourner l’heure et, c’est décidé, puisque toujours pas de RTT, cet été, mes journées seront courtes. Na.

     


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  • Plus d’une semaine que je n’écris plus ici. Curieusement, ça ne m’a pas tant manqué. Même si entre temps, j’ai noirci quelques pages quand je n’avais plus accès à mon ordinateur. Pas le temps de blogguer de toute façon. Le boulot s’accumule et j’ai du partir deux jours sur Paris pour deux réunions. C’était sympa, mais je n’aurais toujours rien vu de Paris le soir… Juste un resto avec l’équipe, pas loin de l’hôtel lui-même pas loin du boulot, donc pas dans le centre de Paris. Faut dire que notre réunion s’est terminée à presque 21h… Dommage. A croire qu’il faudrait que je kidnappe un(e) bloggueur(se) pour m’enlever pour la soirée …

     

    J’ai profité de ces deux jours pour lancer des signaux à mon responsable et finir par lui demander un entretien pour que nous puissions évoquer ensemble ma situation, mon statut, mon salaire, mes missions… Il devrait descendre en région pour l’occasion. Ou du moins, je devrais pouvoir profiter de l’occasion de sa venue prochaine pour cela. Dans une quinzaine de jours en principe. Croisez tous les doigts pour moi…


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  • Un week-end un peu spécial. Mi-boulot mi-détente. Un séminaire d’entreprise, séminaire d’intégration, un truc qu’on ne voit que dans des boites d’une certaine taille.

    Je ne connaissais pas. C’était assez sympa bien qu’un peu trop sportif à mon goût. Et puis du coup, j’ai enfin eu droit à ma soirée en boîte que j’attends depuis plus d’un an ! Je n’ai pas décroché de la piste, comme d'hab’ même si je n’ai pas dansé comme à mon habitude (je suis restée un peu plus calme dans mes déhanchements quand même, j’ai une image à préserver, merde !). Au point que le président du groupe m’a rebaptisée « la danseuse infatigable » devant tout le monde le lendemain en réunion…

    La soirée s’est bien passée. Bon, y'a bien un mec dont j'ai eu du mal à me décoller (il est sympa et il fait partie de la société, dur dur de l'envoyer bouler), un autre assez charmant avec qui j'ai dansé plusieurs fois... et puis j'avoue avoir vu d'un autre oeil l'un de mes directeurs nationaux qui dégageait vraiment beaucoup de sensualité...argf...

    Bon 1- c'est mon directeur national, 2- sa femme attend un gosse, 3- suis mariée, faut pas l'oublier, 4- c'était quand même un truc de boulot donc une image à donner pas trop délurée non plus.... Donc, j'ai essayé de danser le plus loin possible de lui. Petit pincement au coeur quand, à 5h du mat' il m'envoie un texto en se trompant de destinataire (il s'adressait à son assistante partie chercher des croissants pour les survivants qui n'étaient pas encore allés se coucher). Du coup, on a échangé deux trois textos. Rien de tendancieux du tout mais ca m'a fait bizarre... (faut dire que j'étais en pyj. dans mon lit et à moitié endormie... Plutôt étrange comme situation).

    Et voilà, c’est reparti pour une semaine, plutôt courte et c’est tant mieux. J’ai aussi profité de ces deux jours pour lancer un signal discret mais concret à mon responsable national direct sur le fait que j’allais le solliciter bientôt pour qu’on discute de mes conditions salariales et qu’on les revoit à la hausse… Je prépare le terrain… Aujourd’hui encore, il m’a dit que deux docs que je lui avais envoyés pour validation étaient parfaits. J’ai cru comprendre qu’une de mes homologues, elle, était au statut cadre. J’engrange les arguments. J’essaie de faire tout du mieux possible.

    Je croise les doigts. D’ici la rentrée, je l’espère, les choses bougeront pour moi…

     


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  • Journée un peu prise de tête. Gérer 10 choses en même temps, passer de l'une à l'autre, être interrompue par la demande de l'un ou l'appel d'un autre... Et au final cette sensation d'avancer à reculons. 17h, un collègue de boulot se rend compte à ma tête que je commence à saturer. Et devinez quoi ? Il est parti m'acheter... une barre de Toblerone. Rien que pour moi... Si c'est pas mignon tout ça :-) En tout cas, c'était trèèèès bon. Et oui "c'était". J'ai déjà englouti ces 50 gr. de finesse dans un monde de brute ;-)

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  • J'ai toujours considéré, dans les relations professionnelles, qu'il valait toujours mieux garder un minimum de distance avec ses supérieurs hiérarchiques. Vouvoiement et serrage de paluches de rigueur.

    Dans la boite où je suis actuellement, la moyenne d'âge est assez basse. Mon directeur local a pratiquement le même âge que moi et mon responsable à Paris aussi. Du coup, tout le monde se tutoie (excepté avec les big big chef nationaux). Ici, en local, je tutoie et fais la bise à tous, excepté à un des directeurs plus âgé (qui n'est pas le mien même s'il est susceptible de le devenir un jour) et au vieux qui se déplace avec moi (que lui, je continue d'ailleurs de vouvoyer. Je n'arriverais pas à faire autrement et au moins, il me rend la pareille. Ca</personname /> m'évite de déraper quand je ne le supporte plus !).

    Mon directeur local me tutoie et s'est rapidement mis à me faire la bise pour me saluer. Puis il a commencé à alterner. Parfois parce qu'il était au téléphone quand il arrivait et que c'était donc plus facile. Et aujourd'hui, il me serre la main systématiquement. Et bien même si en soit cela me convient parfaitement (surtout qu'il a pris récemment encore plus de responsabilités au niveau national), ça me laisse une sensation bizarre. Comme s'il m'estimait moins tout d'un coup, pour je ne sais quelle raison. Du coup, je me sens presque mal à l'aise en sa présence. C'est très curieux.


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