• Temps de chiotte - STOP - Mal au crâne. STOP- Du mal à me concentrer - STOP - Envie de rentrer - STOP - Pas envie de ces trois jours de déplacement qui s'annoncent trèèèèèèèès denses - STOP.


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  • Je traîne toujours des pieds
    Mais j'prends la vie du bon côté
    Peu à peu j'raccourcis mes journées
    A la maison, plus vite rentrée
    Je peux profiter de bébé
    Pour le reste, on verra après,
    on verra après...
    En attendant, vivement l'été !
    Ras l'bol de la pluie, de la grisaille
    Des écharpes et des gros chandails
    J'veux des petites robes toutes légères
    De la chaleur, un grand bol d'air
    Un peu d'évasion, de sourires
    Une bonne petite dose de plaisir...

    Mais pour l'instant, je traîne des pieds
    J'ai pas envie de me booster
    Vivement l'été, vivement l'été...


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  • Après 3 ans d'investissement sans faille, on vient enfin de me proposer d'occuper officiellement le poste pour lequel je me bats sans relâche. Sauf que... Bien entendu, il ne s'agit pour le moment que d'une promotion des responsabilités. Et... rien en face. Que dalle. Pour cela, il me faudra attendre encore janvier, et encore, pour obtenir quoi ? Pas ce que j'attends. Et encore, ce "pas ce que j'attends" est à nouveau soumis à une évaluation de ce que j'aurais accompli. Bref... Rouge de colère, verte de rage, fatiguée par cette bataille j'ai failli refuser le poste. Au final, après avoir tourné la question dans tous les sens plusieurs nuits d'affilées, je vais l'accepter. Parce qu'à défaut de m'apporter la compensation rémunératrice que j'attends, ca fera joli sur mon CV (et je vais enfin pouvoir retrouver des nuits plus sereines aussi !). Et un joli CV avec des responsabilités qui évoluent au sein d'une boite, c'est toujours plus vendeur. Ca ne pourra donc que me servir. Sauf que... Sauf que devoir attendre encore 10 mois pour obtenir une toute petite partie de ce que je veux, ça me démoralise d'avance. Et force est de constater que j'ai du mal à me motiver. Je traîne des pieds. Et j'aime pas ça. Pas du tout.


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  • ...moins on a envie d'en faire.

    Alors tant que le flou artistique règne sur cette évolution de poste proposée en "off" toujours pas officialisée, tant que l'équipe se disperse un peu plus, chacun de son côté, tant que les bourgeons ne pointeront pas le bout de leur nez...

    Je profite et me délecte de ce temps que je gère comme bon me semble, de ces matins avec petit loulou, sans se presser avant d'aller travailler, de ces intermèdes pauses-déjeuner qui s'étirent parfois, de ce tout petit quart d'heure qu'il me faut pour regagner mes pénates dès que ma journée se termine, de cette liberté de faire, ou ne pas faire, sans compte à rendre à qui que ce soit.

    La motivation reviendra. Même si ça prend plus de temps que ce que j'aurai pensé.



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  • Cette semaine commençait à peine qu'elle se terminait déjà. Trois jours d'incartade professionnelle, imprévu au programme. Et malgré cela, devoir continuer à avancer sur X dossiers. Qui n'avancent plus vraiment du coup. Entre deux sourires, deux cafés, deux blablabla... tenir la pause, debout, encore debout. Courir sur la pointe des pieds.

    En transit. Parenthèse. Comme un arrêt sur image. Je voyage d'un point A à un point B. Sans profiter du paysage. Etre ici, là, ailleurs, partout, nulle part. Fréquenter les gares, les hôtels, les taxis, les aéroports parfois. Trois jours loin des deux chéris. Ne pas y penser. Juste vivre chaque minute au rythme du boulot. Monter, démonter le stand. Montrer, démontrer mon implication.

    Et puis rentrer, des cernes jusqu'aux genoux. Serrer le ptit loup, le couvrir de baiser, me délecter de ses sourires. Culpabiliser un peu de ne pas me sentir concernée par les "oooooh, ça a du être dur 3 jours sans voir bébé" du personnel de crèche qui insiste quand je répond un "je n'ai pas vraiment eu le temps d'y penser tellement mes journées et soirées étaient chargées". "Mais quand même... Ca a du être duuuuuuuuur".

    Ben, non. Pas tant que ça en fait. Je le savais bien, en sécurité, avec son papa. Donc pas de problème pour moi. Ce côté gnangnan du "devoir être absolument fusionnel" m'agace toujours autant. J'ai bien profité de ma première soirée, pour échanger avec un collègue devant un bon petit plat, dans un bar à vin fort sympathique. Et de ma seconde soirée, pour échanger avec mon chef national qui s'était déplacé. C'est en ce moment que se jouent nos évolutions de janvier. Alors autant être présente à son esprit, même s'il ne décide pas seul.

    Profiter de ces déplacements pour faire le plein de nouvelles images, de nouveaux contacts, nouvelles sensations, expériences... Et profiter ensuite du week-end pour cocooner un peu et prendre du repos.


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