• Alors là, je jette l'éponge. Etre une pseudo-responsable au niveau national quand ça arrange tout le monde (et ça arrange bien tout le monde depuis un an), sans aucune reconnaissance financière, passe encore. Mais quand je vois, côté organisation, la façon dont les choses avancent, je ne peux plus. Responsable moi ? Oui, des choses que personne n'a le temps de gérer hein. Et puis finalement, quand il y a un truc sympa à faire, apprendre au détour d'un mail que la nana de Paris qui est censée vous apporter son aide de temps en temps a lancé un truc dans son coin sans vous en parler alors que vous bossez sur le truc de vôtre côté. "Nan parce que tu comprends, ce que tu as proposé n'emporte pas l'adhésion au niveau de la direction, alors bon, je suis tombée sur une proposition d'un fournisseur qui nous a bien plus et blablabla et de toute façon je compte bien t'envoyer le truc pour validation hein". C'est ça. Et moi, je mets mon projet à l'eau qui devait permettre grâce à la commande nationale aux autres filiales de bénéficier de tarifs plus intéressants même si nos quantités à nous sont moindres... Bref. J'ai craqué. Et là, c'est décidé, je jette l'éponge. Qu'ils aillent tous se faire foutre.

    Sur ce, bon week-end.

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  • La fin de l'année est bien chargée côté boulot. Vraiment bien chargée. Ca devrait se calmer à partir du 13 décembre. Mais là, vivement les vacances ! Je commence à saturer... Entre ce dossier qui traîne parce que plus personne n'est motivé et que je rame pour le faire avancer quand même contre vents et marées, les mecs qui se réveillent au dernier moment quand tu n'as plus besoin d'eux et que tu t'es déjà tapé tout le boulot toute seule, ceux qui te donne des leçons sans avoir regardé de près ton travail et te critiquent et en te disant comment tu aurais du faire pour se réapproprier les lauriers de la gloire alors qu'en fait, c'est exactement comme ça que tu as fais... (laissez moi rire). Bref... Sont fatigants tous là en ce moment.

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  • Fin de mois un peu difficile. Ca faisait longtemps que ce n'était pas arrivé. Après l'enthousiasme de la semaine dernière avec séance coiffeur et virée parfumerie pour faire le plein de crèmes (pour protéger mon petit bidou et mes nénés de l'apparition de vergetures, donc un peu une obligation quand même, pas du just for pleasure) où je me suis sentie revivre de ne pas "calculer" mes dépenses (enfin, je n'ai pas dépassé les 100 euros au total non plus, mais sans culpabilité aucune). La réalité refait surface : assurance auto, taxes, impôts sont passés par là. Je suis presque à sec. Et le chéri aussi. Et quand je vois la liste de choses pas glamour du tout qu'il nous reste à acheter (une hotte, de la peinture décorative pour nos murs, le lave-vaisselle à faire réparer, le mixeur en réparation pour un budget de 150 euros à sortir bientôt, la voiture qui ne passe pas le contrôle technique et qu'il faut là aussi rabibocher de tous les côtés faute de ne pouvoir carrément en changer...). Bref, la fin de l'année ne va pas être si fun côté porte-monnaie. Ca me GONFLE.

    Et dire que l'année prochaine, il va falloir ajouter à tout ça les dépenses pour bébé et les frais de garderie estimés à 500 euros par mois (1/3 de salaire tout de même), honnêtement, je me demande QUAND je vais enfin pouvoir me faire plaisir plus souvent (nan, parce que c'est pas la misère totale non plus hein. J'ai connu pire avec le chômage et tout et tout. Mais bon, je bosse beaucoup alors j'aimerais bien que ça commence à payer un peu quand même).

    BREF.

    Bientôt l'argent coulera à flots. Bientôt l'argent coulera à flots (non, ce n'est pas une prédiction, juste une incantation, on ne sait jamais, ça pourrait marcher ?!). Janvier : potentiellement THE période pour une augmentation. On verra bien si mes boss, bien conscients de ce que je souhaiterais, on fait quelque chose ou pas auprès des RH pour m'encourager à ne pas me décourager. Je croise les doigts, de mains, de pieds et tout le reste. Mais je ne me fais pas vraiment d'illusions. 


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  • Le temps est gris, pluvieux, humide. Et ce matin au réveil, la conversation de cette semaine avec un collègue de boulot qui va probablement partir bosser dans le sud ressurgit. Il a passé 20mn à me dire qu'il espérait que ça allait marcher, qu'il n'en pouvait plus de vivre ici, qu'il ne comprenait pas que je sois encore là moi aussi. Qu'une maison, ça se vend. Qu'un nouveau job, ça se trouve etc... Et vas y que je te déballe tous les plaisirs du sud, les week-end qui ressemblent aux vacances et tutti quanti. Comment dire... Ce n'est pas moi qu'il est besoin de convaincre. Moi je lutte contre toutes ces idées pour essayer de m'adapter à ma vie ici. Et il n'en fallait pas autant pour que je replonge. Alors c'est vrai, ce matin, au réveil, coup de spleen... Spleen accentué par un autre échange avec un prestataire qui est pourtant un mec du cru mais qui a préféré partir habiter "la grande ville" d'à côté tant il trouve la ville ici triste et les gens d'ici tellement peu ouverts sur "le reste du monde". Tout ça, c'est pas moi qui le dit. Ce sont des idées que j'essaie de chasser. Mais je n'ai pas assez de forces pour lutter contre des idées qui sont les miennes. Alors coup de spleen ce matin. Ca va passer, je sais, je sais. Ca va passer.

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  • Et non, je ne pars pas en balade. Je suis par contre totalement malade... J'opte donc aujourd'hui pour le télétravail en espérant que le week-end suffise à me remettre sur pied. Sachant qu'à part des efferalgans et du miel je n'ai pas bien le droit d'ingurgiter autre chose, j'espère que le repos suffira...

    Bon week-end à tous

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