• Chez Pascal, le divertissement est tout ce qui empêche l'homme de penser au néant de sa condition.


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  • J'ai des envies d'aventures, pas compatibles du tout avec le fait d'arrêter la pilule pour envisager potentiellement de se mettre à "procréer" à la rentrée. J'ai des envies de corps qui brûlent, peau contre peau. Des envies de surprises, de mots doux. Des envies d'effusions passionnelles, de coeur qui bat, de vie qui vibre...


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  • Laisser courir la plume sur le papier, les doigts sur le clavier… Ne rien avoir de particulier à dire, juste jouer avec les mots qui défilent, qui s’enchaînent, s’entrechoquent. Remuer ses neurones, ses sens, ses impressions, ses envies, ses frustrations. Se demander si s’habituer à tout est une bonne ou une mauvaise chose, si cette capacité d’adaptation est un atout ou un inconvénient.

    Etre là, ni bien, ni mal. Juste là. Regarder les jours défiler, les remplir du meilleur que l’on a sous la main. Profiter du petit bonhomme, le regarder grandir, évoluer, progresser. Le manger de bisous. S’énerver sous la pluie, se prélasser au soleil. Prévoir de menus plaisirs au calendrier. Remplir le calendrier. Cocher les dates, prévoir, anticiper. Remplir le vide. Se vider par intermittences. Pleurer. Rire. Pleurer. Dormir. Langueur, lassitude. Langueur monotone. Monotonie du quotidien, plaisirs routiniers.

    Je vais, je viens, ils vont. Les années passent. Je suis encore là. Je suis toujours là. Je vis, je respire. J’étouffe aussi parfois. Trouver de l’air, des poches d’air et s’emplir les poumons de fraicheur. Pour tenir encore, plus loin. Maîtriser l’apnée de mieux en mieux, jusqu’à en oublier de reprendre de l’air, savoir tenir plus longtemps entre deux bols d’air. S’habituer. On s’habitue. A tout. Ou presque.

    source image : http://tendancedesantipodes.blogspot.com/2011/06/une-plongeuse-russe-nage-nue-avec-des.html

    Laisser courir la plume sur le papier, les doigts sur le clavier… Ne rien avoir de particulier à dire, juste jouer avec les mots qui défilent, qui s’enchaînent, s’entrechoquent. Remuer ses neurones, ses sens, ses impressions, ses envies, ses frustrations. Se demander si s’habituer à tout est une bonne ou une mauvaise chose, si cette capacité d’adaptation est un atout ou un inconvénient. Etre là, ni bien, ni mal. Juste là. Regarder les jours défiler, les remplir du meilleur que l’on a sous la main. Profiter du petit bonhomme, le regarder grandir, évoluer, progresser. Le manger de bisous. S’énerver sous la pluie, se prélasser au soleil. Prévoir de menus plaisirs au calendrier. Remplir le calendrier. Cocher les dates, prévoir, anticiper. Remplir le vide. Se vider par intermittences. Pleurer. Rire. Pleurer. Dormir. Langueur, lassitude. Langueur monotone. Monotonie du quotidien, plaisirs routiniers. Je vais, je viens, ils vont. Les années passent. Je suis encore là. Je suis toujours là. Je vis, je respire. J’étouffe aussi parfois. Trouver de l’air, des poches d’air et s’emplir les poumons de fraicheur. Pour tenir encore, plus loin. Maîtriser l’apnée de mieux en mieux, jusqu’à en oublier de reprendre de l’air, savoir tenir plus longtemps entre deux bols d’air. S’habituer. On s’habitue. A tout. Ou presque.


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