• "Faudrait savoir c'que tu veux" - "c'est comme ça, qu'est-ce que j 'y peux ?".

    Ca me correspond pas mal, vous ne trouvez pas ? ;-)

    En tous les cas, le refrain de Double je (roooooh, les voleurs de titre !!!) entre facilement dans la tête. Je ne sais pas ce que vaut l'album de l'ex-nouvelle star, alias la Tortue, alias Christophe Willem, mais cette chanson là, après deux écoutes seulement, je l'aime plutôt bien... (faut dire, je suis un peu en manque de musique vu que je n'ai plus d'auto-radio depuis quelques mois et plus de chaîne hi-fi depuis 4 ans (because of the travaux in the house où beaucoup de choses sont restés dans les cartons). Alors, je ne fais pas la difficile non plus.

    Pour partager avec moi ces quelques minutes de musique pas prise de tête du tout c'est par ici : http://www.linternaute.com/musique/dossier/christophe-willem/1.shtml

    Bonne journée et bon week-end à tous !


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  • "C'est vrai, je reconnais que j'étais insupportable" dixit le chéri alors que je venais de lui faire un compliment sur les efforts réalisés et son changement de comportement notable par rapport à quelques années auparavant.

    Même s'il y a encore du boulot, et même si j'ai été plus que patiente (mais aussi pas très sage du coup, on fait comme on peut hein), rien que de l'entendre dire pour une fois qu'il "reconnait" ses torts, j'en suis toute tourneboulée.


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  • Je raconte ma journée à mon homme. La nouvelle assistante m'a confiée avoir pensé ne pas avoir le poste à cause de la dernière question du directeur sur son âge, ses projets, sa situation familiale. J'explique que notre directeur nous a fait part de son souhait de disposer de l'équipe au complet jusqu'à fin 2007, pendant la période la plus délicate de la mise en place du projet.

    Mon Homme : Quoi ? Nous aussi ? Mais on va pas le faire à 50 ans ce gosse !
    Moi : tu recommences. Je t'ai déjà dit que de toute façon, tant que je ne le sentirais pas...
    Lui : mais quand même, si, allez...<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />Moi : Tu sais, une des raisons qui fait que je n'arrive pas à me lancer c'est parce qu'on se dispute trop et que presque chaque semaine il y a un moment où je me demande ce que je fais là. Je ne veux pas faire un gosse si je ne suis pas certaine qu'on restera ensemble pour l'élever.
    Lui : Meuh si... Tu exagères. On ne se dispute presque plus ! Je suis devenue gentil non ?
    Moi : c'est vrai, c'est mieux, mais n'empêche... Ce n'est pas encore assez pour que je ne me pose plus de questions. Tu sais, plusieurs fois j'ai failli partir. Plusieurs fois je n'avais qu'une envie : faire mon sac et m'en aller. Sauf que je n'avais nulle part où aller.
    Cette remarque le fait sourire. Jaune sans doute. J'essaie de le toucher, de lui faire comprendre... et au bout de quelques minutes il se tourne et me lance un « Dis, je pèle pas là dans le dos ? ».

    J'hallucine. Je réponds que non. Il insiste puis passe à autre chose et la conversation reprend sur des sujets futiles. Il parle presque tout seul d'ailleurs. Quelques minutes après, je reprends mes esprits (scotchée par tant de... de quoi d'ailleurs, je ne saurais véritablement qualifier cette attitude). Et je reviens sur le sujet en signifiant que je trouve dommage qu'on ne puisse jamais parler sérieusement. Il me demande ce que je veux de plus et là je repars sur mes leitmotiv et au moment même où je m'entends parler déjà je me déteste de radoter sans cesse les mêmes choses (les vacances toujours au même endroit, les sorties exceptionnelles etc). Il s'énerve, me dit qu'on ne peut pas tout faire, que lui il bosse tous les jours et tous les week-ends sur les travaux de la maison mais que dans 6 mois, quand tout sera terminé, les choses seront différentes. Je m'exaspère, prenant pour exemple son attitude qui était identique quand nous n'avions ni maison, ni travaux, ni obligation quelconque d'ailleurs « je ne vois pas pourquoi dans 6 mois ce serait différent ». La tension monte, il me répète que oui, dans 6 mois ce sera différent.

    Il l'affirme avec assurance. Avec tant d'assurance, que j'ai envie d'y croire...

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  • Mardi 4 juillet

    J'envoie un message à une bonne partie de mes contacts professionnels pour les informer de mon numéro de portable pro que je viens tout juste de recevoir (il était temps). J'hésite un peu et puis... j'ajoute à la liste le bel O. Après tout, pourquoi pas hein ? C'est un contact professionnel lui aussi. Allez zou « envoyer ». Tant pis pour mon égo. C'est moi qui "reviens à la charge" en quelque sorte. Groumpf.

    Mercredi 5 juillet

    Salut Titinette,

    Bien noté le numéro de portable, ça peut être utile si nous avons soif – entre autres – et que vous êtes en ville !
    J'espère que tout va bien. Le décompte continu et nous rapproche doucement des congés, ouf, car ici la chaleur et le bruit deviennent intenables.
    Au bout du compte, c'est le bruit, je crois, qui va me pourrir ma fin d'année de travail ! Vivement celui des vagues...
    A bientôt !


    Jeudi 6 juillet

    10h50.
    Je n'ai pas encore répondu. Je me tâte. Et je ne sais pas trop quoi répondre pour l'instant de toute façon. J'oscille entre l'envie de l'inviter à déjeuner / boire un verre la semaine prochaine et ce sentiment désagréable qui m'anime (angoisse ? culpabilité ?) parce que :

    1-
    je n'ai pas de colère vis-à-vis de mon homme en ce moment. Il est même presque tout tendre (pour compenser certainement les nombreuses soirées foot qu'il m'impose ou que je passe seule depuis un mois), donc aller déjeuner avec un homme charmant. Sais pas trop.
    2-
     ça nous mènerait où de toute façon ?
    3-
    je préférerai que ce soit lui qui décide de me séduire. Pas l'inverse.
    4- 
     m'en faire un ami me tente beaucoup, mais vu vos commentaires et mon attirance pour lui, j'ai des doutes quant à ma capacité à devenir l'amie (enfin disons plutôt une copine hein) d'un homme.

    Bon, faut pas croire. Je ne vais certainement pas rester sans répondre du tout du tout. Je suis une fille polie quand même. Mais je ne sais pas encore quelle forme, quel contenu... Et j'attendrais peut-être demain (?) pour formuler mon message. Ou tout à l'heure, avec le prétexte de ce temps de chiotte aujourd'hui qui fait que vraiment, ces vacances, on a hâte d'y être enfin !

    C'est étrange. Quand je n'ai pas de ses nouvelles, je suis un peu déçue et "en attente". Quand il m'écrit, je ne sais pas quoi répondre. Ou pas pressée de répondre. Peut-être parce que je ne sais pas vraiment ce que je veux. Avec Petit Prince, c'était clair. C'était mon prince charmant. J'étais dépressive. Ma situation à la maison était devenue insupportable. Il était mon espoir d'un avenir meilleur. Avec Petit Loup, c'était clair aussi. Un coup de hasard qui l'a mis sur ma route. Il m'a aidé à passer le cap petit prince d'une part et à combler mes frustrations sexuelles de l'autre.

    Mais là... Je ne sais pas.


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  •  

    Moue boudeuse, mes bras autour de lui, je glisse hier dans le creux de son oreille :

    « tu sais, parfois j’ai envie de changer d’homme. J’en veux un qui ne crie pas, qui s’occupe de moi »

    Lui « c’est pas sympa ce que tu me dis là »

    Moi « pourtant c’est vrai. J’en ai marre de t’entendre crier, râler, tous les jours, pour un oui, pour un non »

    Lui « T’es pas sympa. J’ai fait beaucoup d’efforts. Je crie beaucoup moins qu’avant »

    Moi « c’est vrai, mais c’est pas encore assez »

    Lui « ah, la voilà ».

    Fin de la discussion.

     


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