• Verdict des sources d'une partie de mes douleurs : effondrement plantaire.

    Youpi.

    Prochain épisode après le RDV chez le podologue...


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  • kiné, osthéo, kiné, dermato, kiné... Ainsi a démarré mon année.

    Se soigner. Me soigner. Résorber peu à peu les douleurs une à une. Si c'est possible.

    Je veux croire au pouvoir de l'esprit sur les douleurs. La notion même de douleur est tellement subjective.

    Je veux oublier ces douleurs pour qu'elle finissent par m'oublier à leur tour. C'est ça. Oubliez-moi. Allez emm... quelqu'un d'autre.

    Merci bien.


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  • Depuis quelques jours, je suis obsédée par la peur de mourir. Peut-être est-ce le départ brutal d’un collaborateur. On se dit bonne vacances et puis hop. A la rentrée, c’est terminé. Ok, il était à l’aube de la retraite, mais quand même.  Justement. Peut-être aussi cette histoire de fait divers qui m’a traumatisée et à laquelle je m’identifie à fond. Un petit garçon de trois ans qui a été retrouvé seul avec sa maman décédée depuis 3 jours dans leur appartement. Il croyait qu’elle dormait. Depuis cette histoire, j’ai peur.

    Chaque jour, quand je prends la voiture, j’angoisse toujours un peu.

    Chaque jour, quand je me lève, je me dis que c’est peut-être le dernier.

    Et avec cette angoisse en filigrane, il y a aussi un apaisement. Chaque petit plaisir, je le prends avec délice. J’ai mal partout pendant mes cours de danse ? Mais je souris et je continue. Demain peut-être mon corps ne pourra plus suivre du tout. Alors je continue. Je profite tant que je peux.

    J’essaie de ne pas penser trop fort à ceux qui me sont chers et qui sont loin. Ils me manqueraient trop dans ces conditions.

    Je regarde mon fils grandir et j’espère être là longtemps pour lui. Très longtemps.

    Je regarde mon mari avec lequel je me bats si souvent et je sens son amour pour moi. Je veux juste que tout continue encore, et encore.

    Ca ne m’empêche pas de m’énerver encore quand je suis fatiguée, de m’emporter. Mais je suis plus zen. Je prends tout avec plus de recul. Dans ces conditions, difficile d’être à fond dans mon boulot en ce moment. C’est le revers de la médaille. Mais comme je n’attends plus grand-chose de ce côté-là… Après des années passées à construire une pseudo-carrière qui ne me rapporte toujours pas ce que j’attends, j’ai décidé de faire passer ma vie avant tout le reste. Bien entendu, l’épanouissement dans mon boulot en fait partie. Mais je ne suis plus dans une attente déçue. Je prends ce que j’ai comme une chance.

    Longtemps je me suis dit que j’aimerais savoir vivre comme si chaque jour était le dernier, mais cela restait une phrase, une utopie. Aujourd’hui, je touche cela du doigt. Cela ne durera peut-être pas. En attendant, je savoure cette capacité soudaine à apprécier la moindre petite chose positive. C’est bon. C’est vraiment bon.


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  • Chaque fois que je m'absente deux jours pour le boulot, je n'y coupe pas. Passé les premières heures des retrouvailles, dès le lendemain, j'ai droit à une crise. Le petit bonhomme me fait payer mon absence en étant infernal, lui qui est d'habitude si agréable et facile à vivre. Et là, pas manqué. lundi et mardi à paris. Résultat, mercredi matin : crise du loulou qui ne veut pas s'habiller, pas aller à la crèche, pas rentrer dans la voiture, pas sortir de la voiture etc... Epuisant.


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  • Test cosmo : à quelle phase de votre vie en êtes-vous ?

    Vous êtes en phase de transformation.

    Dans un jeu de cartes, il y a toujours un joker ; dans la vie aussi, il y a toujours un moment où l’on nous tend le pompon rouge, sauf qu’on ne le voit pas forcément. Aveugle ? Non, juste trop chargées par nos émotions, nos armoires, nos souvenirs, on passe à côté de l’essentiel, un homme, une vocation…

    Vous voilà à une étape de votre vie où le destin vous demande de faire peau neuve.

    Alors que faire ?

    Opérez un tri, jetez, délestez-vous des habitudes qui ne vous correspondent plus pour, par la suite, renouer avec vos désirs, les vrais, pas ceux qu’on porte comme une doudoune trop grande (les espoirs des autres), ou au contraire trop étriquée (nos actes manqués).

    Pourquoi maintenant ?

    Parce que, en ce moment, juste à côté de vous, le pompon rouge s’agite, quelque chose ou quelqu’un vous correspond…

    Écoutez votre intuition. Dans le fond, vous savez qu’il existe un passage qui mène à vos désirs. À cette étape de votre vie, il vous faut juste enlever les pierres qui cachent l’entrée pour voir plus clair en vous.


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