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    Ouch. Notre assitante vient de rentrer de vacances. Comme à son habitude, elle embaume le parfum. Jusqu'à présent, cela ne me posait pas de problème même si elle en met vraiment beaucoup (sauf qu'elle porte MON Parfum et que depuis, j'ai du en changer car je ne supporte pas que nous soyons deux dans le même bureau à porter le même parfum, mais bon, c'est ainsi).

    Mais là, j'ai du mal. Je ne supporte plus les odeurs depuis quelques semaines. Tous les matins, les odeurs de bois de ma nouvelle cuisine et celle de la peinture fraîche des plafonds me filent la gerbe (pratique pour petit-déjeuner). Alors là, "Allure" à plein nez dont le sillage se retrouve dans toutes les pièces du bureau, c'est trés difficile. D'ailleurs, moi-même, je ne me parfume plus ou trés trés peu depuis que ce mal au coeur permanent me tient. L'autre jour, j'ai tenté. Mais au bout de 5mn j'ai du passer un gant humide sur ma peau pour en atténuer la présence. Alors que je viens tout juste d'offrir un parfum que j'adore à mon homme, je n'en supporte plus la moindre effluve non plus. J'espère que cela va vite passer. Parce que des odeurs, il y en a partout, tout le temps. Parfums des uns et des autres, transpiration dans le métro parisien, odeurs de cuisine, du bois, du café qui chauffe pour l'équipe à longueur de journée, d'essence (il faut bien faire le plein de temps en temps...). Pfiou.

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  • Je ne sais pas exactement si j'en suis à la troisième, à la quatrième ou si j'attaque ma cinquième semaine (j'en saurais probablement un peu plus le 3 septembre après mon RDV avec le Dr Gygy) mais, même si je ne réalise pas encore vraiment ce qui arrive, quelques symptômes sont là pour me rappeler que des choses sont en train de se passer en moi  :
    - un mal au coeur discret mais quasi-permanent et particulièrement plus fort en fin de journée
    - une sensibilité aux odeurs exacerbée (je ne supporte plus l'odeur du bois de ma nouvelle cuisine, le parfum de mon homme, du gel douche etc.)
    - la peau de mes seins qui tiraille un peu
    - une certaine fatigue en fin de journée (je pique du nez plus facilement dés 22h)
    - une sensation de faim (ce mal au coeur est le même que celui qu'on peut avoir quand on n'a pas assez mangé)
    - une sensation de soif (et pourtant, il ne fait pas 35°) fréquente

    Mais globalement c'est tout.

    Par contre, il se passe un truc hallucinant. Depuis quelques jours, tout le monde parle de bébés autour de nous. Mes parents, mes beaux-parents, notre voisin... qui n'en parlent pourtant jamais (c'est pas comme certains couples de copains qui nous sortent ce refrain à chaque fois qu'on les voit, et qu'on ne voit plus d'ailleurs, parce que j'ai osé leur dire qu'ils étaient chiants avec leur vision monochrome de la vie). Comme s'ils sentaient quelque chose. Un truc de dingue.


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  • Mariage d'un vieux copain de classe dans le sud. Rencontrer de nouvelles têtes et notamment une fille trés sympa qui, fatalité, va venir s'installer à une cinquantaine de kilomètres de chez moi... Je n'ai pas osé l'échange de numéros, mais qui sait... Par une amie commune, j'espère bien la revoir.


    Revoir l'amie volage, son nouveau-né. Partager des secrets de filles. Passer la nuit dans leur bastide familiale. Décor de rêve.

    Déjeuner en famille. Soupe de poisson maison. Pêchée par papa. Cuisinée par maman. La meilleure soupe de poisson du monde entier. Si, si. Avec sa rouille, miam. La vraie rouille. Pas celle des restaurants qui n'est qu'une pâle imitation à base de mayonaise. Pfff. Savent pas ce que c'est la rouille.

    Fêter l'anniversaire de la sister. Offrir. Sourire.

    Les points noirs du week-end : les 4h de route et de bouchon pour rentrer au lieu des 2h45. La 69 qui nous fait une crise sur le parking de l'aire d'autoroute parce qu'elle voulait se garer là où on s'est garé et qui fait mine de m'écraser quand je sors de la voiture. Salope de connasse va. Voilà, c'est dit, ça fait du bien. Na.

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  • Ma soeur est enceinte. Elle va accoucher. Nous l'accompagnons à l'hôpital. A peine nous nous garons, c'est déjà trop tard. Pas le temps de la faire monter dans l'établissement. Elle accouche dans la voiture. C'est moi qui sort le bébé. Je le prends dans les bras. Ma mère coupe le cordon et me le donne (heurk, encore un truc gore). J'enveloppe vite le bébé pour ne pas qu'il ait froid. Je le regarde, il me souris, il est mignon. Beaucoup d'amour émane. Mais je dois le rendre. Il n'est pas à moi. Je dois le rendre et je suis triste.


    Et ben, ça y est, c'est parti pour une série de rêves étranges !


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  • "Le test est positif. Vous êtes enceinte Madame".

    Même si le contraire m'aurait largement étonné et inquiété, ça fait bizarre de se l'entendre dire. Vraiment bizarre.

    Enceinte. Moi ? Enceinte ? Z'êtes sûrs ? Moi qui suis une traumatisée de la grossesse et de l'accouchement ? Moi qui ne voit que des inconvénients à la présence d'enfants dans un couple ? Ben oui. Je l'ai bien cherché, alors forcément, maintenant, on y est. Va falloir s'accrocher. Je sens que je vais commencer à flipper là... Ouh là là, oui.

    Bon, faut que j'appelle le chéri pour le lui dire quand même.




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