• Et voilà ! Je reprends du service pendant 2/3 jours dans ma boite, histoire de terminer quelques petites choses restées en suspends pendant l'absence de tous (factures à régler, comptes à arrêter avec la comptable, mes congés payés et indemnités à préparer...). Arf, au moins ça m'occupera un peu cette semaine ! et puis au moins, je pourrais profiter de la connexion internet pour blogguer plus facilement !!! :-)

    Au programme des réjouissances de la semaine, ce jeudi, formation avec le même petit groupe qu'en juillet... Je vais peut-être revoir JB, le fameux jeune homme qui m'attirait intellectuellement parlant uniquement (qui, ceci étant dit, ne m'a pas donné le moindre signe d'intérêt depuis notre dernière rencontre).

    Allez, zou, au boulot fillette :-)


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  • Rêve

    Deux femmes, deux hommes. Deux hommes payés pour nous donner du plaisir. Qui est l'autre femme ? Qui sont ces deux hommes ? L'un deux est terriblement bien foutu. Je m'arrange pour qu'il soit à moi. Du désir, des envies, mais tout est limité, comptabilisé, on peut difficilement avoir vraiment ce que l'on veut aussi bien l'une que l'autre. Je veux de vrais baisers, des corps à corps tout en tendresse, de l'émotion et je n'ai droit qu'à si peu de choses. Quelques caresses tout au plus. A un moment je me demande si on va faire des choses à quatre, si je vais pouvoir avoir les deux hommes pour moi toute seule. Envie et très grosse peur de ça en même temps. Complicité mais aussi concurrence avec cette autre femme. Mon escort boy est prêt à me donner un peu plus. Mais il est « surveillé » par l'autre gars. On cherche à filer dans une autre pièce, on cherche l'obscurité mais la lumière se diffuse et s'infiltre dans la pièce au travers des persiennes et il ne fait jamais vraiment noir. On ne peut pas se cacher. Frustrations. Rêve confus et cahotique. La neige au dehors. Et au milieu de tout ça, une histoire de gamin à couvrir avant de sortir, de casquette à acheter assortie à son blouson... Un week-end, très court. Peu de temps pour profiter. Sans queue ni tête tout ça.

    Signification

    Je ne sais pas vraiment. Probablement une référence à mes infidélités. On ne peut pas avoir l'amour dans ces conditions. On ne peut pas se voiler la face et se cacher très longtemps du reste du monde. Tout ça n'est qu'un jeu, pas de l'amour. Juste un substitut. Et moi j'ai besoin d'amour, de le ressentir, de le vivre en moi. Et en même temps besoin de quelque chose de très physique. Le désir de l'autre, du corps de l'autre. Hier soir, mon homme avait envie. Il a commencé à faire quelques allusions sur le canapé. Moi, je suis restée immobile. « Pas envie » lui ai-je dit. « Trop mal partout » ai-je éludé. Un comble quand on sait que j'ai passé une partie de l'après-midi, seule, a me donner quelques minutes de plaisir... Quelques heures avant ses avances, je l'observais, allongé sur le canapé, et je me disais que son corps était loin de mon idéal (mon idéal : pas très grand, trapu, petits bras musclés... le portrait craché de mon premier grand amour en somme...). Lui est grand, mince mais déjà limite bedonnant depuis quelque mois. Pas de petits bras musclés. Pas de poitrine confortable sur laquelle s'appuyer et de très vilains pieds. Juste son visage, son sourire, que j'aime et qui me rassure. Je sais bien que le physique est loin d'être essentiel en amour. Et pourtant, j'ai envie de ce genre de corps. Mon premier amour m'a laissé une trace indélébile. Si bien fait, musclé mais pas trop, une peau si douce et si bronzée, un nez si parfait, un regard si doux et si coquin... Arf, pourquoi m'obsède t'il toujours celui-là... 15 ans après...


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  • 9h. Je me lève à peine. Pourtant je me suis couchée tôt : 23h30, en même temps que mon homme qui commençait assez tôt sa journée de boulot aujourd'hui. Mais j'ai mal dormi. Mal partout et angoisses. Difficile de se lever quand on n'a rien de prévu pour remplir sa journée... A part faire un peu de ménage, me laver la tête et peut-être aller m'inscrire aux Assedics, même si rien ne presse car je ne serais pas prise en charge avant fin octobre de toute façon... Vu mon état, je ferais mieux de d'abord vérifier si mon médecin est bien rentré de vacances. Du mal à marcher ce matin. Le bas du dos commence à tirer. Même genre de sensation que les deux précédentes fois où j'ai fini par rester coincée.

    Et puis rage après moi. Impossible de remettre la main sur mon chargeur de téléphone. L'ai-je oublié en vacances ? En tous les cas, mon téléphone est déchargé et je ne peux plus le mettre en marche. Il va falloir que je trouve vite une solution ou que je remette la main sur ma batterie. Mon ptit loup est en Espagne jusqu'à la fin de la semaine. Mais il devrait revenir ce week-end. Il risque d'essayer de me joindre... Et puis surtout... si jamais... Non. Ca je sais bien que non.

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  • Nuit du 29 au 30 août
    Rêve.

    Je vois un paysage rocheux. Des pins. Une rivière. Je me vois ensuite dans une salle de classe, face à des professeurs auxquels je dois démontrer mes compétences pour être admise dans la formation que je souhaite. Mon dossier a été refusé. Sans raison. Sans explication. Je me débat pour renverser la tendance. Je me défends, m'énerve et les convaincs finalement. Je suis acceptée dans cette formation. On me donne l'emploi du temps. Du 8h-18h presque tous les jours alors que j'avais l'habitude de commencer à 10h tous les matins. Je me dis que ça ne va pas être facile.

    L'école se trouve sur des hauteurs. Il faut presque escalader pour y accéder. Je glisse. J'ai mal partout. Une fille me retiens derrière moi et m'empêche de glisser plus bas. Je m'excuse et lui dit mes douleurs physiques. Sa mère, derrière elle, me dit qu'elle va bientôt se reconvertir en kiné et me propose de devenir son cobaye. J'accepte avec l'espoir qu'elle soulage mes maux.

    Je dois me rendre à mon cours, toujours en extérieur, sur les rochers, sous les pins... Une tempête se lève. Des arbres sont arrachés, s'envolent presque avant de retomber dans la rivière un peu plus bas. Des éboulements me font peur. Des morceaux de rochers s'effondrent. A grand peine, je rejoins mon groupe. Nous sommes très peu nombreux à être venus. Moi qui avait peur d'être en retard...

    Je discute ensuite avec une femme d'une cinquantaine d'années. Je lui parle de mes douleurs. Elle me dit que ça lui fait peur. Ca la renvoie à son propre vieillissement. Elle me parle de son vieux papa, qu'elle garde à la maison et dont elle s'occupe sans cesse.

    Puis on voit quelques jeunes filles qui se donnent en spectacle. L'une d'elle à moitié nue, joue avec un voile et entame une danse du ventre, avec d'ailleurs, un ventre bien potelé, pas très joli joli. Tout le monde est choqué. Pas moi qui prend sa défense et dis que je trouve ça beau, que j'aimerais bien apprendre, moi aussi, la danse du ventre...

    Signification

    Aucune idée. Enfin en réfléchissant un peu... Peut-être l'angoisse de devoir retrouver du boulot en sachant par avance qu'ici, ça ne va pas être facile. Que je vais devoir me battre et que j'en suis fatiguée par avance. Que mon rythme, si nouveau boulot il y a, va probablement sacrément changer (je faisais du 10h-19h tous les jours, à 10 mn de chez moi). Qu'il va falloir que j'apprenne de nouvelles choses, encore et encore, pour m'adapter peut-être à un nouveau poste. Peut-être ce « refus » fait-il référence à cette lettre que j'ai reçu au retour de vacances, d'un des organismes qui m'avait promis de m'aider à retrouver du boulot et qui m'annonce « qu'il n'y a pas de recrutement en cours ». La personne qui devait s'occuper de mon dossier et le faire suivre en haut lieu n'a manifestement pas bougé. Va encore falloir que je rappelle, que nous ayons une explication. Et puis des références à mes douleurs physiques, à mon impression d'être déjà vieille, à ma peur de ne pas arriver à vieillir si la situation empire comme ça d'années en années, de mois en mois. Danse du ventre ? Mon besoin de séduire, référence à la sexualité peut-être. Ou bien tout simplement à mon besoin de faire de la danse et ma peur, à cause de ces douleurs, de ne pas pouvoir continuer encore bien longtemps cette activité...

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  • Mon corps me fait souffrir. Tout le temps. Et ces deux demi-heures de jardinage, pourtant réparties sur tout le week-end, n'ont fait qu'accentuer mes douleurs. Mon dos, depuis 10 ans déjà, me fait mal. Et plus les mois passent, plus les blocages sont fréquents.

    J'ai mal dans le cou, dans le haut du dos, très raide et puis tout en bas dès que je me penche ou que, par exemple, allongée sur le dos sur la plage, j'essaie de me relever. Besoin de m'appuyer sur mes coudes, de m'accrocher à mes cuisses et de me pencher légèrement sur le côté pour passer de la position allongée à la position assise. Déplorable et ridicule... Et comme si ces douleurs ne suffisaient pas, j'ai, depuis une chute il y a quatre ans, des douleurs dans l'épaule et la main droite. Rien aux radios, rien à l'irm pour cette main qui me fait pourtant parfois si mal jusqu'à me réveiller la nuit, les doigts engourdis. Depuis quelques mois, mon corps se rebelle. Chaque petit bobo, au lieu de s'effacer progressivement, s'ajoute aux autres et s'ancre dans mon corps définitivement. Il y a plus d'un mois, je me suis réveillée un matin avec une douleur à l'épaule gauche et depuis, j'ai toujours mal. Je n'ai pourtant rien fait. Juste dormi sur ce côté là... Je me suis aussi déplacée un nerf dans le coude gauche, que j'ai voulu faire remettre en place par un ostéopathe et la douleur s'est accrue après son intervention. Mes travaux d'hier ont aggravé encore cette sensation désagréable de lancement dans le bras et en ont ajouté une supplémentaire derrière mon genou gauche qui, celle-ci je l'espère, partira bien vite. Un petit nerf s'est également déplacé sous mon pied droit avant les vacances. M'empêchant de porter des talons, de monter sur demi-pointes... Moi qui suis une danseuse, je vais devoir trouver une solution. Un rebouteux ??? Peut-être. Je vais essayer cela pour mon pied... Après tout pourquoi pas.

    Je me sens vieille. Affreusement vieille. Je me réveille parfois plus fatiguée qu'à mon coucher, le corps engourdi et raide. Une heure au moins m'est parfois nécessaire pour arriver à évoluer à peu près normalement. Je n'ai pas encore trente ans... Que vais-je devenir si cela continue comme ça ? Kiné, ostéo, médicaments... Une ronde incessante qui ne fait qu'apaiser très brièvement ces petits maux qui, ajoutés les uns aux autres, m'épuisent de jour en jour.

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